Le passage des plateaux de l’Aubrac, dans le sud du Massif Central, nous rappelle que sans aller au bout du monde, on trouve en France des paysages sauvages de toute beauté qui ne peuvent laisser indifférents sous les lumières de fin d’été.
Du désert et d’une vie qui doit s’avérer rude et rustique, on est passé à la multitude et à l’art d’exposer le luxe et le confort en descendant sur le port de Monaco. Notre habitat très différent de celui des monégasques a finalement été très bien toléré sur le port face aux grands yachts. Il fallait oser mais nous l’avons fait!